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Collaboration et confiance

Nous avons voulu en savoir plus. Nous voulions savoir ce qui compte pour nos entreprises participantes, comment elles se situent par rapport à la durabilité et ce qu’elles attendent de nous, l’Agence de l’énergie pour l’économie, pour progresser dans leur gestion de l’énergie et des ressources. L’enquête que nous avons réalisée auprès de nos participants nous a fourni toutes les réponses. Les voici.

Les réponses sont sans ambiguïté : les entreprises ont intégré les objectifs de durabilité dans leurs principes. Pour planifier et mettre en œuvre ces objectifs, elle ont pleinement confiance dans leur collaboration avec leur conseiller ou conseillère AEnEC et avec l’AEnEC. Voilà ce que montre l’enquête réalisée par l’AEnEC auprès des entreprises participantes en octobre 2023. Les entreprises collaborent avec l’AEnEC pour plusieurs raisons : outre le fait qu’elle leur permet de s’acquitter de leurs obligations légales de manière efficace, cette collaboration leur offre une mise en œuvre des objectifs fondée sur des mesures d’amélioration, mais aussi le suivi de leur contribution environnementale et des réductions de coûts grâce à la réduction de leur consommation énergétique. De plus, les entreprises qui participent à l’AEnEC apprécient l’excellence des conseils techniques, ainsi que la fiabilité et la qualité des informations mises à leur disposition.

La convention d’objectifs de l’AEnEC sert à avancer

Les sujets qui préoccupent actuellement le plus les entreprises sont l’emploi des énergies renouvelables et des nouvelles sources d’énergie, la planification et la mise en œuvre des mesures qui améliorent leur efficacité énergétique et leur gestion des ressources, ainsi que la sécurité de l’approvisionnement. Les entreprises jugent par ailleurs que la convention d’objectifs est un instrument efficace pour mettre en œuvre leurs objectifs de durabilité. Une fois encore, la convention démontre son efficacité : elle offre aux entreprises aussi bien une sécurité dans la planification, grâce à ses processus, que la mise en évidence de nouveaux potentiels d’amélioration de la performance énergétique. Elle leur permet ainsi de fixer des objectifs de plus en plus ambitieux et les encourage à conclure des conventions volontairement.

Les nouvelles offres de l’AEnEC rencontrent un grand intérêt

Quels objectifs de développement durable les entreprises ont-elles à l’horizon 2050 ? Elles visent en priorité l’emploi des énergies renouvelables, et aussi, de plus en plus, une production intégralement recyclable et neutre pour le climat, la neutralité climatique des bâtiments et des installations et enfin la gestion efficace des ressources, c’est-à-dire l’économie circulaire. Autant dire que le Plan Décarbonation et l’offre « Gestion efficace des ressources » rencontrent un grand intérêt auprès des entreprises. Celles-ci sont aussi preneuses d’exemples de bonnes pratiques pour progresser dans la décarbonation et la gestion efficace des ressources.

Nous adressons nos vifs remerciements à toutes les entreprises qui ont pris le temps de participer à notre enquête.

Les mutations actuelles du monde donnent un élan formidable à la transition énergétique. Que nous parlions de décarbonation, d’efficacité énergétique ou encore de gestion des ressources, nous pouvons l’affirmer, les choses bougent ! L’énergie est aujourd’hui un sujet de discussion fréquent pour les décideurs dans les entreprises.

Mais si l’on veut parvenir au zéro émission nette et à l’économie circulaire, une planification particulièrement rigoureuse s’impose. Nous sommes convaincus que l’approche que nous avons adoptée mène au but recherché, aussi bien pour l’entreprise que pour l’environnement : réduction de la consommation des ressources, durabilité des processus et des produits, diminution des frais énergétiques, réduction de l’empreinte sur l’environnement.

La méthode de l’AEnEC est née dans les années 1990 déjà : face à la hausse prévisible des coûts de l’énergie, l’économie a créé la démarche fondée sur la convention d’objectifs volontaire, qui a ultérieurement été intégré dans la loi sur le CO2 en tant qu’instrument incitatif. Cette démarche débute par une analyse, qui sert de base pour l’élaboration d’objectifs puis pour la mise en oeuvre de mesures d’amélioration. Un suivi mesure la progression au fil du temps. L’amélioration de l’efficacité énergétique obtenue grâce aux mesures d’amélioration devait compenser la hausse des coûts de l’énergie. Aujourd’hui, nous le savons, cette démarche porte ses fruits au-delà des attentes.

Nous abordons désormais les prochaines étapes : nous avons étendu la méthode de l’AEnEC à deux nouvelles prestations, le « Plan Décarbonation » et la « Gestion efficace des ressources », qui sont décrites dans le magazine que vous tenez entre les mains. Vous y lirez aussi nos conseils pratiques pour économiser l’énergie et des informations de fond apportées par des experts en énergie et des spécialistes de la politique.

Nous vous souhaitons une excellente lecture !

Rudolf Minsch
Président

Erich A. Kalbermatter
Co-directeur

Thomas Weisskopf
Co-directeur

INFORMATIONS

À la fin de l’année, Erich A. Kalbermatter et Thomas Weisskopf, les deux co-directeurs de l’AEnEC, prendront une retraite bien méritée. Frank R. Ruepp deviendra le nouveau directeur de l’AEnEC, et Benjamin Marti sera désormais membre de la direction.

Frank R. Ruepp est conseiller et membre de conseils d’administration. Après ses études d’économie à l’Université de Zurich, il a été CEO de diverses entreprises industrielles actives à l’international. En tant que président du Groupement d’intérêt des industries intensives en consommation d’énergie IGEB, il a également siégé au comité de direction de l’AEnEC jusqu’en juin 2023. « Relever le défi que représente le fait de poser aujourd’hui les jalons pour demain, avoir une perspective large, voilà ce que j’amène. », déclare-t-il dans un interview. En janvier 2024, il reprendra la direction du secteur dirigé jusqu’alors par Erich A. Kalbermatter. A cette même date, Benjamin Marti prendra les rênes du secteur dirigé à ce jour par Thomas Weisskopf et deviendra membre de la Direction. Benjamin Marti apporte une grande expertise et un engagement de plusieurs années au service de l’AEnEC.

Frank R. Ruepp et Benjamin Marti sont déjà bien connus à l’Agence de l’énergie pour l’économie, pour laquelle ils travaillent depuis plusieurs années. Qu’est-ce qui les anime et quelles nouveautés veulent-ils apporter dans leurs nouvelles fonctions ? Nous avons voulu en savoir plus.

Monsieur Ruepp, à partir de janvier 2024, vous êtes le nouveau directeur de l’AEnEC et vous, Monsieur Marti, vous intégrez la direction de l’AEnEC. Vous reprenez aussi la direction des secteurs conduits jusqu’à aujourd’hui par Erich A. Kalbermatter et Thomas Weisskopf. Qui êtes-vous ?

Benjamin Marti (BM) : Je suis un lève-tôt et durant mon temps libre, j’aime me promener en famille dans la nature à pied, à vélo ou à ski. En tant qu’ingénieur en énergie, je dispose d’une vaste expérience dans divers domaines de la technique énergétique.

Frank R. Ruepp (FRR) : Je suis père de trois enfants. Je suis économiste de formation et j’ai travaillé durant 25 ans dans la production industrielle. J’ai donc une grande affinité avec la technologie. Je suis ouvert, honnête et j’aime bien traiter les sujets de manière directe. J’aime passer du temps dans la nature. J’ai également du plaisir à voyager et je suis un fan de romans policiers.

Vous souvenez-vous de votre premier contact avec l’AEnEC ?

BM : C’était il y a 17 ans, au moment où j’ai posé ma candidature chez Thomas Weisskopf. La description du poste incluait notamment des travaux pour l’AEnEC. Une de mes premières tâches a consisté à tester et à finaliser le premier logiciel destiné au suivi (ou monitoring) de l’AEnEC.

FRR : Mon premier contact date du temps où je présidais la direction de Perlen Papier SA. En tant qu’entreprise intensive en énergie, nous avions alors rapidement conclu une convention d’objectifs. C’était dans les années 2010. Nous avons aussi vite constaté la plus-value que cela nous offrait.

Quelle était cette plus-value ?

FRR : Cette plus-value tenait au fait que nous pouvions voir et exploiter des potentiels d’économie d’énergie. Avant de procéder au check-up énergétique avec notre conseiller AEnEC, ces potentiels n’étaient pas visibles de manière claire et détaillée sur notre radar. Ce check-up a déclenché un processus qui avait lui aussi un cadre clair, puisque la convention d’objectifs avait une durée de 10 ans. Le remboursement de la taxe sur le CO2 était une motivation supplémentaire.

Vous occupez les deux des fonctions de direction. Et chacun de vous dirige maintenant une équipe de conseillers et conseillères AEnEC. Comment dirigez-vous ?

BM : Je comprends mon rôle de cadre comme un rôle de conseil et de facilitation. Je soutiens mon équipe pour qu’elle travaille de manière autonome et responsable. Il faut aussi toujours donner les coudées franches, ce qui favorise l’épanouissement.

Pour l’équipe des conseillers et conseillères AEnEC, je vois mon rôle comme consistant à créer de bonnes conditions pour la réalisation des mandats sur lesquels les équipes travaillent : mon rôle est donc de définir et de fournir les processus et aides nécessaires et d’être disponible pour les questions qui se posent.

FRR : Oui, notre tâche consiste à créer un environnement qui permet à nos ingénieurs et ingénieures d’effectuer leur travail de manière simple et efficace. En fin de compte, nos participants, les entreprises, doivent être satisfaites et avoir envie de travailler avec l’AEnEC. Elles doivent voir la valeur ajoutée que représente l’AEnEC pour la mise en œuvre du développement durable en entreprise. Pour cela, nous devons être là où vivent les entreprises et nous devons les écouter activement.

Nous voilà déjà en train de parler de vos tâches. En voyez-vous d’autres pour vous au sein de l’équipe de direction de l’AEnEC ?

FRR : Compte tenu de ma longue expérience des activités opérationnelles, je connais très bien le monde de l’entreprise et des associations, autrement dit, le défi qui consiste à poser aujourd’hui les jalons pour demain en visant le long terme et à mener des projets à bien. C’est un plaisir pour moi d’apporter cette expérience et de partager mon réseau.

BM : J’ai toujours été très impliqué dans la responsabilité des méthodes, des processus et des outils de suivi, et je continuerai de le faire. Des outils fiables et les plus simples possibles sont essentiels si l’on veut pouvoir établir des rapports sérieux sur le développement durable en entreprise, une thématique qui se complexifie. Mon but est de développer des solutions innovantes et convaincantes pour y parvenir. Et dans ce but, j’apporterai également mon expérience dans l’équipe de direction de l’AEnEC.

Qu’est-ce qui vous motive ?

BM : Je suis motivé quand je vois les mesures de protection du climat que les entreprises mettent en œuvre grâce à l’AEnEC ou avec l’aide de l’AEnEC. Le changement climatique est un thème qui comporte de grands défis pour nous et pour l’économie. Je veux continuer de participer à la conception de bonnes conditions-cadres pour l’économie, afin que les entreprises soient bien accompagnées sur la voie de la décarbonation et de l’économie circulaire et qu’elles puissent mettre en œuvre des mesures qui ont un impact sur le climat et qui leur conviennent.

FRR : Oui, c’est exactement la même chose pour moi. La pression sur les entreprises s’accentue sans cesse, et pouvoir contribuer à ce que les conditions-cadres et l’offre de l’AEnEC soient adaptées est très important pour moi. À l’AEnEC, nous pouvons montrer ce que l’industrie fait pour réduire les émissions de CO2, pour améliorer son efficacité énergétique et bientôt aussi pour améliorer la gestion de ses ressources. Cela me motive.

Monsieur Marti, vous incarnez la grande banque de données de l’AEnEC. À vos yeux, ces données représentent-elles un atout pour montrer le potentiel de la convention d’objectifs sur la voie du zéro émission nette ?

BM : À mon avis, absolument, oui. Chaque année, nous présentons les résultats obtenus par les entreprises participantes à l’AEnEC. Ce sont des résultats considérables. Toutefois, ils sont malheureusement peu reconnus politiquement, ce qui est très regrettable. Nous devons impérativement rester actifs dans ce domaine.

Comment entendez-vous procéder ?

BM : En communiquant sans relâche positivement. Et en poursuivant notre bonne collaboration avec nos partenaires et avec les services administratifs. Nous tirons tous à la même corde et reconnaissons qu’en fin de compte, nous voulons la même chose.

FRR :Absolument ! Il est logique de se fixer un objectif puis de vérifier comment nous l’atteignons. Ce processus fonctionne, y compris dans d’autres domaines du développement durable. Et depuis des années, nous essayons d’exporter la convention d’objectifs, qui est une réussite. Nous voulons l’exporter comme une prestation, accompagnée des technologies développées par des entreprises suisses, pour contrecarrer dans la mesure du possible le changement climatique. C’est un projet que nous devons impérativement poursuivre.

Où l’AEnEC se dirige-t-elle avec vous ?

FRR : Nous devons avoir comme objectif commun que l’AEnEC adapte systématiquement sa démarche aux autres domaines du développement durable pour proposer ses prestations et qu’elle reste un partenaire fiable de mise en œuvre pour les autorités, par et pour l’économie.

BM: L’AEnEC va continuer à prendre les choses en main de manière affirmée et en faisant preuve de beaucoup d’initiative. L’AEnEC fonctionne ainsi depuis ses débuts. Elle a pris les devants et a su anticiper. Poursuivons sur cette lancée pour continuer d’apporter le meilleur soutien aux entreprises grâce à des offres innovantes.

Frank Ruepp

Frank R. Ruepp est membre d’un conseil d’administration et conseiller. Après ses études d’économie à l’Université de Zurich, il a été CEO de diverses entreprises industrielles actives à l’international et président du Groupement d’intérêt des industries intensives en consommation d’énergie IGEB.

Benjamin Marti

Benjamin Marti est membre de la direction de Weisskopf Partner Sàrl. Il a étudié le génie électrique et électronique et les systèmes de communication à l’EPFZ.

INFORMATIONS

Jusqu’à fin 2024, les entreprises peuvent encore bénéficier de subventions si elles élaborent un Plan Décarbonation. Cela s’applique désormais aussi aux entreprises affiliées au système d’échange de quotas d’émission (SEQE) ainsi qu’à notre offre « Gestion efficace des ressources ».

En juin de cette année, les électeurs suisses ont accepté la loi sur le climat, ouvrant ainsi la voie à l’objectif de neutralité climatique pour 2050. La nouvelle loi oblige l’économie à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Afin d’accélérer la réduction des émissions de CO2, SuisseEnergie soutient financièrement les entreprises. Ainsi, les entreprises qui établissent un Plan Décarbonation, c’est-à-dire concrètement un bilan des gaz à effet de serre sur l’ensemble de la chaîne de valeur et un plan de mesures à long terme, se voient rembourser 40 pourcents des coûts. Le montant maximal de la subvention s’élève à 25 000 francs, ou 35 000 francs pour un projet à l’échelle d’une branche.

Désormais, les entreprises qui ont adhéré au SEQE peuvent également profiter de cette aide. Il en va de même pour les entreprises qui ont opté pour l’offre « Gestion efficace des ressources ». Les dispositions exactes figurent dans le nouveau document d’encouragement de SuisseEnergie, qui sera publié prochainement sur le site de SuisseEnergie.

Le programme d’encouragement de SuisseEnergie expire toutefois à fin 2024. Les demandes de subvention devront avoir été déposées au plus tard à cette date.

Informations complémentaires

Les interdépendances du trilemme énergétique – sécurité d’approvisionnement, rentabilité et impact sur l’environnement – sont plus présentes que jamais. Dans le même temps, tandis que les dépendances vis-à-vis de l’étranger se renforcent sur le front de l’énergie et des matières premières, les chaînes mondiales d’approvisionnement se fragilisent. Il est grand temps que nous nous souvenions de nos atouts.

En politique comme dans la société, le débat sur la sécurité de l’approvisionnement énergétique bat son plein. Longtemps, ce débat était largement dominé par des thèmes de politique énergétique intérieure : parviendrons-nous à produire suffisamment tôt les nouvelles énergies renouvelables nécessaires à la fois pour disposer de plus d’électricité l’hiver et pour remplacer les centrales nucléaires progressivement démantelées ? Comment le trilemme énergétique qui met face à face sécurité de l’approvisionnement, rentabilité et impact sur l’environnement évolue-t-il ?

De plus, nous nous trouvons confrontés à des changements dans les chaînes mondiales d’approvisionnement énergétique et l’invasion de l’Ukraine par la Russie a bouleversé le paysage géopolitique. Notre trilemme énergétique se durcit : à l’heure où nous devrions poser les jalons si essentiels de nos stratégies de décarbonation à moyen et long terme, nous voici contraints de nous concentrer sur la sécurité à court terme de notre approvisionnement en énergies fossiles, assuré par des importations. Quant aux prix de l’énergie, de manière peu surprenante, ils augmentent, ce qui est d’ailleurs aussi une stratégie, dès lors que l’énergie devient un pion de la géopolitique. Dans de nombreux États membres de l’UE, les réactions à ces hausses font naître des fleurs singulières dans la politique industrielle. Les récentes subventions de certains pays sont un poison pour l’industrie suisse intensive en énergie, qui, au lieu de contribuer au règlement du problème de l’énergie et des ressources, se trouve ainsi elle-même plongée dans des questions de survie en raison de son emplacement. À cet égard, on ne voit malheureusement pas encore de solution se dessiner.

Mais revenons-en au trilemme et à la géopolitique. La transformation du système d’approvisionnement énergétique fait partie intégrante de la mutation que connaît la politique européenne de sécurité, c’est une évidence. Pareil changement nous met face à un nouveau dilemme opposant indépendance énergétique et risques liés à l’approvisionnement. Depuis 2011, l’UE a dressé une liste des matières premières considérées comme critiques en raison de leur poids économique et des dégâts que pourrait causer une rupture dans leur chaîne d’approvisionnement. Or, année après année, cette liste s’allonge.

Osons une fuite en avant. En diversifiant nos sources d’approvisionnement et en collaborant avec nos partenaires stratégiques, nous devons garantir à notre industrie un approvisionnement en énergie et en matières premières suffisant, à des prix compétitifs. Des conditions-cadres de qualité, que nous pouvons pour l’essentiel concevoir nous-mêmes, doivent non seulement conserver, mais aussi améliorer l’attrait de la Suisse en tant que site de recherche et de production. Si l’industrie technologique suisse conserve son avance en matière d’innovation y compris à l’avenir, nous aurons contribué, grâce à de nombreux produits indispensables reposant sur des technologies de pointe, à relever les plus grands défis du monde. Nous opposons alors à nos dépendances une réponse d’envergure.

 

L’auteur

Philipp Bregy est responsable du secteur énergie de Swissmem, l’association des PME et des grandes entreprises de l’industrie technologique suisse.

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